Musée Victor Hugo-Maison Vacquerie de Villequier

Conférence de Florence Naugrette :

« La visite de Hugo à une famille chinoise racontée par Juliette Drouet »
Samedi 21 avril à 16h, au Musée Victor Hugo-Maison Vacquerie de Villequier (Rives-en-Seine)                             Entrée du musée 5€ (tarif réduit 3€)

Le 30 mars 1852, Hugo exilé rendit visite à une famille chinoise, qui s’exposait dans les galeries Saint-Hubert à Bruxelles. Le marchand de thés cantonnais Chung-Ataï s’exhibait depuis l’année précédente dans les capitales européennes, exhibant sa famille sur le mode du zoo humain et du tableau vivant, pour la plus grande curiosité des badauds. Hugo et Juliette Drouet bénéficièrent d’une visite privée, grâce à un ami médecin, le Docteur Yvan. Dans le récit qu’elle fit de cette rencontre, Juliette commente les différences culturelles qui l’étonnent (l’opium), l’horrifient (les pieds atrophiés des femmes) ou l’enthousiasment (la beauté des coiffures et des tenues), et livre sur la condition des femmes chinoises des réflexions identificatoires.
http://www.museevictorhugo.fr/event/journee-internationale-de-la-langue-chinoise/

Invitation de Florence Naugrette

Vendredi 16 mars 2018
Dans le cadre du séminaire de Florence Naugrette « Théâtre et politique », vous êtes invités à assister à la conférence-entretien avec François Lecercle, Professeur émérite de Littérature Comparée à la Sorbonne, sur Religion et théâtrophobie. Il y sera notamment question du spectacle Tertullien à l’affiche au Théâtre de Poche Montparnasse.
Vendredi 16 mars, 16h-18h, en Sorbonne, Amphi Quinet, entrée par le 46 rue Saint-Jacques, 1er étage gauche.
Il est prudent de vous munir de cette invitation, ou de signaler votre présence à florence.naugrette@orange.fr (afin qu’elle laisse votre nom au vigile)

Jeudi 15 mars, 10-13h, Écrire au féminin

Le 15 mars, entre 10h et 13h, nous poursuivrons notre réflexion sur l’écriture au féminin

  • 10h-11h15 : Jean Delabroy nous parlera d’Annie Ernaux et de son livre Les années
  • 11h30-13h : À l’invitation de Françoise Spiess, auteure et universitaire, lecture de textes par Anne Steffens suivie d’une conférence de Belinda Cannone, romancière, essayiste et professeur de littérature comparée

     

     

     

Invitation de Florence Naugrette aux auditeurs des Matinées de la Littérature

Vous êtes conviés à assister, dans le cadre de mon séminaire de master « Théâtre et politique », à une rencontre sur Macbeth, avec Anne-Françoise Benhamou, dramaturge de Stéphane Braunschweig, et Daniel Loayza, traducteur de la pièce actuellement à l’affiche au Théâtre de l’Odéon.
La séance a lieu vendredi 23 février, de 16h à 18h, à la Sorbonne, Amphi Quinet (entrée 46 rue Saint-Jacques, au coin de la rue des Écoles, 1er étage gauche).
Munis de cette invitation à présenter au vigile, vous y serez les très bienvenus.
Bien cordialement,
Florence Naugrette

    florence-naugrette

15 février 2018 10-13h – Lydie Salvayre

Matinée exceptionnelle autour du travail de Lydie Salvayre (Goncourt 2014) :

Capture d_écran 2018-02-14 à 21.22.48

conférence de Jean Delabroy : écrire au féminin aujourd’hui

lecture de textes (Pas pleurer) par Rose-Mary d’Orros

Intervention de Lydie Salvayre

Vente des derniers livres de l’auteur par l’Écume des pages

Lieu : Cinéma Étoile Saint-Germain-des-Prés, 22 rue Guillaume Apollinaire 75006 Paris

tarif : 40€

Prolongations !

Après les six conférences du programme Ecrire au féminin, consacrées à la lente et forte émergence, entre XVIème et XXème siècles, de la voix des femmes en littérature, et à la triple question des  nécessités qui l’ont portée, des fictions qui l’ont figurée, des enjeux qui l’ont manifestée, nous avons plaisir à vous proposer, au titre de prolongations, trois rendez-vous supplémentaires, pour risquer l’enquête, du côté des expressions contemporaines.

Le 15 février 10h-13h : Lydie Salvayre, Pas pleurer (2014)

En présence de l’auteure, avec lectures de Rose-Mary d’Orros 

Bernanos in memoriam

La mère médiatrice

« Tombeau » pour la liberté, autrement dit le féminin

 

Le 15 mars 10h-13h : Annie Ernaux, Les Années (2008)

Documenter l’histoire des vies féminines

Une autobiographie historiographique

Passages et partages entre générations de femmes

 

Le 5 avril 10h-13h : Virginie Despentes, King Kong théorie (2006) et Vernon Subutex 1 (2015)

Extensions du domaine de la transformation

Chronique des luttes, agenda des causes

Sujets mutants des futurs hypothétiques

Attention : changement de programme

Jeudi prochain, 11 janvier, Jean Delabroy donnera 2 conférences successives :

9h30-11h : 1832. Georges Sand (conférence N°4)

11h30-13h : 1925. Virginia Woolf (conférence N°5)

jeudi 18 janvier

9h30-11h : Boris Lyon-Caen – Sartre/Camus : anatomie d’un dissensus.                Un théâtre de « situations »  (conférence N°4 initialement prévue le 11 janvier)

11h30-13h : Jean Delabroy – 1930. Colette (conférence N°6)

jeudi 25 janvier, Boris Lyon-Caen donnera ses 2 dernières conférences successivement

9h30-11h : Une œuvre « expérimentale » ? (conférence N°5)

11h30-13h : un geste « autobiographique » (conférence N°6)

Invitation au Carré Littéraire

Ce soir à partir de 18h, rencontre avec des écrivains, conférences et découverte de Walden, la forêt virtuelle et littéraire de Loïc Djian

18h30 : Jean-Michel Besnier – La littérature pour résister – CNL 53, rue de Verneuil

19h00 : Patrick Dandrey – La conversation des gens d’esprit dans le « noble faubourg » à l’âge classique – CNL 53, rue de Verneuil

20h00 : Charles Pépin – L’émotion esthétique – Galerie 1831, 6 rue de Lille

20h30 : Olivia Gazalé – Le mythe de la virilité – Galerie Chenel, 3 quai Voltaire

Capture d_écran 2017-12-06 à 11.26.17Auteurs_Liste

Invitation au 1er Carré Littéraire

Les Mardis de la Philo sont heureux de vous inviter le 6 décembre prochain, entre 18h et 22h, à une déambulation littéraire dans le périmètre du Carré Rive Gauche, à la rencontre d’auteurs : Lydie Salvayre, Alice Ferney, Laurence Debray, Jean-Philippe Toussaint, Négar Djavadi, Kéthévane Davrichewy, Laurent Binet, Guillaume Poix, François Nelidov, Patrick Boucheron, Ali Zamir, Dominique Dyens, Raphaèle Bernard-Bacot, Alexandra Lapierre, Pauline Prévost-Marcilhacy, Philippe Courroux, Sophie Lemp, Édouard Dor, Aboubakr Chraïbi, Marie-Bénédicte Diethelm, Jean Delabroy, Massimo Nava, Lucile Gubler, Olivier Borst, Charles Pépin, Olivia Gazalé…

CarréLittéraire_Invitation

Molière, à l’invitation de Florence Naugrette

Florence Naugrette invite les abonnés des Matinées de la Littérature à la retrouver au

COLLOQUE INTERNATIONAL
Si Molière m’était conté…
 
8, 9 et 10 novembre 2017
Université Paris-Sorbonne
Organisé par Georges Forestier, Florence Naugrette, Elodie Bénard et Marc Douguet.
Lieux : Université Paris-Sorbonne les 8 et 9 novembre
Maison de la Recherche les 9 et 10 novembre
Inscription gratuite et obligatoire avant le 6 novembre sur http://obvil.paris-sorbonne.fr/colloque-moliereUne pièce d’identité sera demandée à l’entrée.
 
Anecdotes, comédies dont Molière est le héros, romans, tableaux, films : la vie et l’œuvre de Molière sont génératrices d’histoires. La tentation de la fiction se manifeste dès les premiers textes qui lui sont consacrés, à commencer par les Nouvelles nouvelles (1663), où Donneau de Visé retrace le parcours fictif d’un auteur dont la réussite est bâtie sur la chance, l’absence de scrupules et des soutiens parmi les « gens de qualité » ou la Vie écrite par Grimarest (1705), « un des plus faux et des plus ennuyeux romans qui aient jamais paru », selon Jean-Baptiste Rousseau. Cette tendance s’accentue aux siècles suivants, où se développe le mythe moliéresque, relayé par les biographes et les critiques, mais aussi par les institutions culturelles, artistiques et scolaires.
Chercheurs et professionnels du théâtre évoqueront divers aspects de cette « mise-en-légende » de l’artiste, afin d’éclairer le rôle de la fiction dans la réception de Molière.
Vous trouverez l’affiche et le programme en pièces jointes.
Affiche

1er juin 18h – Maison de Chateaubriand

 

« Littérature des Images » ou « littérature des Idées » ?
Animée par Jacques-David Ebguy (Université Paris Diderot)

Le thème : « Littérature des idées » vs « Littérature des images » : formulée par Balzac, l’opposition, de Chateaubriand à George Sand, de Mme de Staël à Hugo, court tout au long du XIXe siècle. D’un côté, prolongeant le XVIIIe siècle philosophique, une littérature abstraite, une écriture sèche, analytique, orientée par la raison, de l’autre, une littérature des passions, du rêve, une écriture du lyrisme et de l’image. Faut-il « convaincre par la raison » ou « entraîner par l’imagination » ? Faut-il se méfier des outrances de l’imagination ou en célébrer le pouvoir d’éclairage, la force d’emportement ? Entre les deux voies, la littérature française – poésie, récit ou prose d’idées – oscille ou vise une forme de synthèse (les idées avec les visions).

Cette deuxième rencontre-débat se propose de préciser les termes de cette opposition, sur laquelle nous vivons encore, d’en suivre les manifestations dans notre modernité et d’en mesurer les enjeux à la fois esthétiques, philosophiques et idéologiques, dans un temps de démocratisation et de sécularisation.

Les intervenants :

Philippe Dufour, professeur de littérature française du XIXe siècle à l’Université de Tours, chercheur associé à l’Institut des textes et manuscrits du CNRS, est rédacteur en chef de la revue électronique flaubert.revues.org et a notamment publié Le Roman est un songe (Seuil, 2010), et La Littérature des images (La Baconnière, 2016). Il travaille désormais sur la façon dont le réalisme pense la démocratie.

Françoise Mélonio, professeur émérite de l’Université Paris IV-Sorbonne, ancienne directrice des études et de la scolarité de Sciences Po Paris, est spécialiste de Tocqueville et de l’Histoire intellectuelle et littéraire du XIXe siècle. Elle achève actuellement la publication des Œuvres complètes de Tocqueville (Gallimard) et participe à l’édition des œuvres de Benjamin Constant.

Informations pratiques : Jeudi 1er juin à 18h dans la bibliothèque de la Maison de Chateaubriand. Gratuit mais sur réservation au 01 55 52 13 00 ou reservations-chateaubriand@hauts-de-seine.fr

Le Prix Sévigné couronne le travail de Marie-Bénédicte Diethelm

mb-diethelm

Le 8 mars 2017, au musée Eugène Delacroix à Paris, le prix Sévigné a couronné l’édition des Lettres de Alexandre de Humboldt à Claire de Duras. Cette correspondance inédite est préfacée par Marc Fumaroli de l’Académie française, présentée, établie et annotée par Marie-Bénédicte Diethelm, spécialiste de Balzac et de Chateaubriand. Marie-Bénédicte Diethelm est notamment l’éditrice des romans inédits de Mme de Duras, dont les manuscrits étaient demeurés introuvables depuis la mort de la duchesse: Olivier ou le Secret (in OurikaÉdouard et Olivier ou le Secret, Gallimard, coll. « Folio classique », 2007), Mémoires de Sophie suivi de Amélie et Pauline (Manucius, 2011).

Alexandre de Humboldt (1769-1859), né à Berlin, voyageur, géographe, naturaliste – de qui Chaptal disait qu’il possédait toutes les sciences –, passa plus de vingt ans de son existence à Paris. Il y rédigea et publia en français son Voyage aux régions équinoxiales du Nouveau Continent (30 volumes), après avoir parcouru la partie nord de l’Amérique espagnole de 1799 à 1804 en compagnie du botaniste Aimé Bonpland. Ami de Gay-Lussac, d’Arago, de Cuvier, de Prony, ferme partisan de Champollion, constant soutien du peintre François Gérard, le grand géographe (dont le génie va « presque au-delà des limites accessibles à une intelligence humaine ») est également accueilli avec enthousiasme dans les salons de Paris.
Adversaire déterminé de l’esclavage, Alexandre de Humboldt a noué des liens étroits d’amitié avec Claire de Duras – le futur auteur d’Ourika – dès 1814. Grande figure de la Restauration, la duchesse de Duras (1777-1828), fille d’Armand de Kersaint, girondin guillotiné en 1793, anime le salon le plus en vue de son époque. On y voit Chateaubriand, Mme de Staël, Talleyrand, Pozzo di Borgo, Wellington, Rostopchine, Abel-Rémusat, Lizst encore enfant… Si Chateaubriand est le grand amour platonique de Mme de Duras, qui le soutient dans toutes ses entreprises politiques et littéraires, Alexandre de Humboldt est celui dont l’amitié se révèle la plus sincère et la plus fidèle. Chateaubriand s’éloignera peu à peu, avant tout préoccupé de l’édification de sa propre statue.
À un lectorat qui n’est pas nécessairement familier d’Alexandre de Humboldt et de son œuvre, nous voudrions présenter le plus grand savant voyageur qui ait jamais vécu – selon Darwin – tel qu’il apparut aux cercles savants et mondains de Paris pendant le premier tiers du xix e siècle. Ses lettres à Claire de Duras, de leur rencontre à la mort de celle-ci le 16 janvier 1828, sont un témoignage éclatant de la réunion de deux intelligences, liées par la générosité, la grandeur, l’impartialité, à un moment historique singulier où « l’esprit français » rayonne sur l’Europe et le monde.

Alexandre de Humboldt
Lettres à Claire de Duras (1814-1828)
Correspondance inédite, présentée, établie et annotée par Marie-Bénédicte Diethelm
Préface de Marc Fumaroli de l’Académie française.
Éditions Manucius, mai 2016.

Hommage

Jeudi 19 janvier à partir de 12h30, les Cinémas Étoile rendront un dernier hommage à leur programmateur, brutalement disparu la semaine dernière.

Par conséquent, il n’y aura pas de pause entre les 2 conférences de la matinée. Jean Delabroy débutera son intervention à 11h pour la terminer à 12h25 afin que la salle soit entièrement libérée à 12h30 précises. Nous vous remercions pour votre compréhension

Au théâtre en ce moment:

La Chute d’Albert Camus

Adaptation de Catherine Camus et François Chaumette, mise en scène et avec Ivan Morane

Au théâtre du Lucernaire du 18 janvier au 4 mars 2017 à 19h

            capture-decran-2017-01-13-a-23-26-08

Bérénice de Jean Racine

Mise en scène Jacques Osinski

Au théâtre de Suresnes du 24 au 28 février 2017

capture-decran-2017-01-13-a-23-39-25

Prix littéraires 2016

Après le Prix Nobel de littérature 2016 attribué à Bob Dylan     bob-dylan-1

Le Prix Médicis 2016 va à Yvan Jablonka pour Laetitia ou la fin des hommes (Seuil) qui a déjà reçu le Prix Transfuge du meilleur essai et le Prix littéraire du Monde
yvan-jablonka

Le prix Renaudot 2016 est décerné à Yasmina Reza pour Babylone (Flammarion)yasmina-reza

Leïla Slimani reçoit le Goncourt pour Chanson douce (Gallimard), son 2ème romanleila-slimani

 

Nouveau numéro de la revue de poésie « Place de la Sorbonne »

Le n°11 de Place de la Sorbonne, revue annuelle de poésie contemporaine, vient de paraître. C’est un volume de 450 pages, particulièrement riche.

Côté création, il propose des textes dus à onze poètes de langue française, autrices et auteurs confirmés : François Amanecer, Jeanine Baude, Jacques Demarcq, Ariane Dreyfus, Laurent Grison, mais aussi de jeunes poètes : Anne-Cécile Causse, Astrid Maes, Victor Malzac, Raphaëlle Muller, Sarah Pirard et Manon Thiery.
Le dossier de « Langues du monde », élaboré par Patricia Lavelle, fait découvrir des « Voix de femmes : poésie (et politique) dans le Brésil d’aujourd’hui ».
Michel Murat a traduit quatre poèmes de Louise Glück, prix Nobel de littérature 2020.
Et la rubrique « Contrepoints » présente le travail d’un jeune peintre très talentueux, Maxime Biou.

Côté commentaires et éclairages divers sur le champ poétique :
Christian Doumet, « L’Invité », fait le point sur l’œuvre de Victor Segalen, Jacques Le Gall, dans « Échos », sur celle de Paul-Jean Toulet, deux écrivains dont on commémorait il y a peu le centenaire de la mort.
Alain Gorius, qui dirige les Éditions Al Manar, retrace l’activité de sa maison au service des littératures de la Méditerranée.
Sont proposées trois études substantielles sur des poètes contemporains : Esther Tellermann, Dominique Fourcade (« Échos ») et William Cliff (« Vis-à-vis »).
Hommages sont rendus dans « De l’autre côté du miroir » à des poètes récemment disparus : Daniel Fano, le Tchèque Petr Král, le poète franco-libanais Salah Stétié, Frédéric Jacques Temple, Claude Vigée.
On trouvera enfin de nombreux comptes rendus.

Prix du numéro : 20 €
Lancement officiel : mercredi 25 mai à 18h, INSPE de Paris, 10 Rue Molitor, 75016 Paris,
suivi d’un buffet.
Réservation obligatoire sur : https://lettres.sorbonne-universite.fr/culture/programmation-culturelle

Pour toute commande ou demande d’information, s’adresser :

  • soit à l’éditeur : Sorbonne Université Presses (SUP), Maison de la Recherche, faculté des
    Lettres de Sorbonne Université, 28 rue Serpente – 75006 Paris (sup.sorbonne-universite.fr)
  • soit au siège de la revue : Direction des affaires culturelles de la faculté des Lettres de
    Sorbonne Université, 1 rue Victor Cousin – 75005 Paris

(placedelasorbonne.sorbonne-universite.fr)

Jeudi 27 janvier : deux conférences d’Agathe Novak-Lechevalier

Chers Auditeurs,

La troisième conférence du cycle Yasmina Reza, l’intranquille n’ayant pu avoir lieu jeudi dernier, Agathe Novak-Lechevalier donnera deux conférences le jeudi 27 janvier.

La journée se déroulera donc de la façon suivante :

– 9h30-11h00 : Thomas Mann et la crise de la culture II – Philippe Zard
– 11h15-12h15 : Hammerklavier – Agathe Novak-Lechevalier
– 12h30-13h30 : Hammerklavier II – Agathe Novak-Lechevalier

À jeudi prochain !